Quand mon père me remit le manuscrit « MAXIME », je ne savais pas que je vivais nos derniers moments de jours heureux et de souvenirs partagés. Il avait travaillé toute sa vie à la recherche d’informations sur mon grand-père, le capitaine Roger Pierre MERCIER, militaire et résistant, qui fut assassiné au centre de mise à mort de HARTHEIM le 02 septembre 1944…Claude, mon père, avait 5 ans et ma tante Michèle 8 ans.

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Créditsphotos©GillesMercierPhotographe